Oxford, 1650. L'histoire d'Anne Green, jeune servante accusée d'infanticide avec préméditation, est inspirée d'un fait réel. Elle fut pendue et sa dépouille donnée à la médecine. Robert, étudiant en médecine, est hypnotisé par son visage, jusqu'à voir ses paupières tressaillir. Il décèle ainsi un premier souffle de vie après la mort, découverte qui donnera lieu au récit d'une miraculée. On rentre immédiatement dans le cœur du roman et de son intrigue. L'auteur utilise le procédé d'écriture qui consiste à passer de l'un à l'autre personnage à chaque chapitre. Le lecteur se prend au jeu et veut très vite connaitre la suite.
Très bien écrit, l'auteur n'épargne aucun détail quant à la vie de l'époque, et saleté, pauvreté, désœuvrement extrême sont bien souvent au cœur des mots. La description de la prison à Oxford, ou de l'accouchement sont terribles, mais paraissent très justes.
L'auteur s'est inspirée d'un fait réel, et raconte à la fin du roman comment elle a remanié l'histoire vraie d'Anne Green, à partir des éléments qu'elle a pu trouver, et révèle la part d'imaginaire qu'elle y a inséré.
Très bien écrit, l'auteur n'épargne aucun détail quant à la vie de l'époque, et saleté, pauvreté, désœuvrement extrême sont bien souvent au cœur des mots. La description de la prison à Oxford, ou de l'accouchement sont terribles, mais paraissent très justes.
L'auteur s'est inspirée d'un fait réel, et raconte à la fin du roman comment elle a remanié l'histoire vraie d'Anne Green, à partir des éléments qu'elle a pu trouver, et révèle la part d'imaginaire qu'elle y a inséré.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire